Pour les fêtes : évitez les grands moments de solitude à table !

Les fêtes arrivent et avec elles, les repas qui s’enchaînent. Toute cette nourriture est parfois difficile à digérer. Dès lors, comment éviter les ballonnements et les rototos indésirables ?

Sous d’autres cieux

 

En Corée, il faut faire du bruit en mangeant. C’est une question de politesse. Les grognements, les « sluuurp » d’aspiration sont signes de bonne chaire. Le rototo en fin de repas est même plutôt bien vu. C’est en quelque sorte faire honneur aux talents culinaires de notre hôte que d’y aller de son sauvage beuglement. Mais nous ne sommes pas en Corée. Prude occident, tu nous veux discrets à ta table.

Poésie gastrique

 

Mais ce n’est pas toujours évident de rester maitre de sa digestion lorsqu’on accumule les repas de fêtes (et les différents excès qui vont avec). Ce mal de ventre qui ne demanderait qu’à s’échapper discrètement (ou non) avec les vents du soir. Ces remontées violentes qui feraient bondir de jalousie tous les barytons de la planète si nous les laissions s’exprimer. Non, il faut les contenir. Plus facile à dire qu’à faire !

Le savoir vivre c’est très bien. Mais face au faste à outrance, même Nadine pourrait laisser échapper son Rot****;)

Slow down baby

 

C’est pourquoi, en 5 points très rapides, je vous dis comment éviter maux de ventre, renvois et autres incongruités durant vos trop longs repas de fin d’année.

1. Le bicarbonate est ton ami > en prendre une cuillère après les repas, il aide à digérer.
2. Le gingembre >  en infusion, il aidera à lutter contre les ballonnements.
3. Le clou de girofle > à mâcher, accrochez vous mais ça marche !
4. La camomille > en infusion pour calmer le bruit interne.
5. Le curcuma > sans doute le top pour aider la digestion. J’en ai même fait une boisson : la curcunade.

Notez bien ces 5 points, ils pourraient vous éviter bien des moments de solitude. Et n’hésitez pas à les transférer à vos invités, ils vous en seront sans doute reconnaissant. Sur ce, bonnes fêtes à tous et n’oubliez pas tout de même…là où il y a de la gène, il n’y a pas de plaisir !

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